Quand une vie libre commence, les rencontres suivent [Oona ]

Voila donc un an qu'il s'était retrouver à lui même, il était enfin libre de vivre sa vie comme il le voulait, il n'était plus obliger de suivre les ordres de vieux gâteux qui donnaient des ordres sans bouger le moindre petit doigt. Ou tout simplement suivre ce que disais un homme atteignant la trentaine qui disait toujours la même chose. Enfin bref, sa vie avait été bien mouvementé et avait toujours été accompagné d'un entraînement ou d'assassinat rapide. Un enfant qui avait connu une vie que personne n'allait vivre, ou du moins Jerom ne l'espérait pas pour eux. Mais bon, maintenant il avait sa vie devant lui, ses 23 années passées sur cette terre semblaient peut-être les plus horrible, mais il était sur que les années à venir allaient être bien mieux. Maintenant il était donc libre et pour représenter cette liberté, il avait rapidement décidé de porter une mini cloche au cou, pourquoi ? Allez savoir. Enfin bon voila qu'il avait décidé de partir de sa ville pour parcourir le monde ou déjà l'Europe, ne voyons pas trop gros.

Il marchait donc sur les routes tranquillement, souvent mains dans les poches, même s'il lui arrivait de placer ses mains derrière la tête et de siffloter un air joyeux. Il dormait le plus souvent à la belle étoile pour d'une économiser, et de deux profiter de contempler le spectacle qu'offrait la nuit. L'un des nombreux spectacles de la nature, il ne fallait pas oublier le soleil couchant, l'eau scintillant sous cette rouleur orangée ... Toute une panoplie de spectacle à admirer tranquillement. Il avait marcher seul pendant déjà une semaine, marchant sur les sentiers parfois bien oublier, surement le fait qu'on ne passait plus par là pour aller plus vite ou que tout simplement cette route ne menait nul part, même si une route mènera toujours quelque part. Il marchait sans rien transporter avec lui à part quelques pièces pour manger et boire, son arme se trouvait toujours sur sa cuisse droite, sa tenue était assez propre, sa bonne vieille tenue depuis sa liberté. Et dernier détail quand on le voyait passé, continuellement un sourire arborait ses lèvres.

La température semblait baisser de jours en jours, il marchait toujours et sentait que la température descendait petit à petit et le vent commençait à apparaitre, mais pas n'importe quel vent, un vent marin, cela ne voulait dire qu'une seule chose, il s'approchait de la mer, mais de laquelle, et oui, pour tout dire il avançait sans but précis et s'était bel et bien perdu dans ce qu'on appelait la France. Il trouva finalement ce qui ressemblait trait pour trait à une taverne, le vent se faisait plus ressentir, le bruit de la mer était présent et les mouettes aussi. Il entra donc dans cette taverne, qui semblait être le seul moyen de passé cette mer ou juste de savoir où il se trouvait. Et puis la nuit semblait assez froide, il fallait peut-être mieux avoir une chambre où dormir. Il entra et sentit directement cette odeur désagréable, le silence venait de se faire à l'arrivée de ce petit jeune comme certains l'avait nommé rapidement. Le jeune homme regarda un peu autour de lui, que des gros gaillards à part une ou deux personnes un peu plus fines. Il vit en face de lui le bar avec le propriétaire qui essuyait quelques verres avec un torchon qui laissait à désirer. Sans perdre son sourire Jerom alla s'asseoir sur un tabouret assez sale et demanda au barman :

Vous auriez du lait ?

On le regarda bizarrement puis on lui rit en pleine figure, il était vrai qu'on demandait du lait assez rarement, et c'était d'ailleurs pour ça qu'ils riaient aussi bien, Jerom les regarda avec un air vexé et demanda alors simplement une chambre, le barman reprit alors son calme et alla chercher une clé derrière son comptoir. Il la lui lança et lui montra le chemin avec son pouce. Jerom approuva seulement et partit vers sa chambre. Quand il y entra un merveilleux spectacle s'offrait à lui, deux rats se battaient pour un bout de crouton de fromage sur le lit poussiéreux avec un ressort qui ressortait au niveau du dos, une araignée s'était installé à côté de la lampe accroché au plafond, une lampe vielle et crasseuse qui n'éclairait qu'à peine la pièce, et enfin un simple meuble à moitié dévoré par les mites colocataires des rats et des araignées. Jerom soupira légèrement sans se laisser abattre, il vira les deux rats et alla ouvrir la fenêtre ou du moins essayer, bizarrement elle semblait condamner, après plusieurs essais, il finit par réussir, surement qu'elle n'avait pas été ouvert depuis longtemps. Il finit par s'asseoir sur le lit, dos contre le mur humide et finit par essayer de dormir comme ça ...

La nuit fut dure, très dure, Jerom arrivait à dormir très légèrement essayant de pas trop crasser ses vêtements sur le drap sale et à moitié troué. Pourtant durant la nuit il ressentit quelque chose assez dur et pointu, il se retournait mais finissait pas revenir dessus. Le lendemain matin il se réveilla ou du oins fut réveiller quand quelqu'un vint lui secouer l'épaule répétant encore et encore "jeune homme, jeune homme ? " Jerom se réveilla alors et sortit un simple "né ? " L'homme barbu lui déclara simplement :

Le dernier bateau pour l'Angleterre va partir dans cinq minutes, vous voulez venir ?
euh oui enfin oui je pense

Jerom se leva encore un peu endormi, le vieil homme lui sourit et l'invita à le suivre, ce que fit le jeune homme. Il l'emmena alors vers un bateau de passe, un simple bateau ni trop gros ni trop étroit, une dizaine de personne pouvaient y rentrer facilement. Il embarqua donc avec le vieil homme, sa femme et son fils, il y avait aussi un ou deux voyageurs assez gros qui restèrent silencieux pendant toute la traversée.

Ils arrivèrent donc à une île qu'on appelait l'Angleterre, une fois arrivé, tous se séparèrent espérant ce revoir un jour, enfin c'était surtout le vieil homme qui voulait revoir Jerom, et encore plus son fils avec qui il s'était pas mal amusé. Enfin bref, une fois séparé, le jeune homme se retrouva seul, il commençait à avoir fin et le pire dans tout ça c'est que personne ne le comprenait et son ventre gargouillait, malgré tout personne ne le comprenait et sa faim augmentait, après des heures, il dit d'une voix dépité :

Néééé j'ai faim

Il marcha encore une dizaine de minutes et finit par s'adosser contre une fontaine se tenant le ventre avec ses deux mains, il commençait à croire que mourir de faim allait s'appliquer pour lui, il soupira et resta là sans bouger ...

Pour la première fois de toute sa petite vie, Oona s’était levé tôt. Tout ça à cause d’un abrutit de chien qui aboyait à côté de chez sa tante. Et après, on se demandait pourquoi elle aimait pas les chiens. C’était tout simplement des animaux idiots, qui aboyaient dès qu’ils voyaient quelques choses bouger. Un animal stupide vous dis-je. Bien que plus intelligent que l’être humain. Après tout, l’humain restait l’animal le plus stupide au monde et il n’y avait rien qui pourrait lui faire changer d’avis. Bien heureusement, les humains n’aboyaient pas sur tout ce qui bougeait, à la place, ils s’entretuaient. Pourquoi ? Le désir de pouvoir, l’avarice ? Elle n’en avait aucune idée, et s’en moquait bien. Oona voulait juste ne pas trop fréquenter les humains, c’était tout. On la laissait tranquille, elle les laissait tranquille, c'était ce qu'il y avait de mieux à faire pour avoir un monde meilleur.

Après s’être lever, habiller, préparer et avoir fait tout le rituel du matin, elle partit s’acheter quelques douceurs. Rien de mieux que quelques pâtisseries pour commencer la journée <3 Vêtue de sa robe noire et de soulier de même couleur, elle s’était dirigé, sourire aux lèvres, vers la boulangerie. Mais il fallait croire qu’elle avait les yeux plus gros que le ventre, à peine sortie du magasin, elle se rendit compte qu’elle s’était acheté trop de chose. Et elle ne pouvait pas gâcher non plus. Il fallait maintenant trouver une solution. Le finir et tomber malade ou le donner à quelqu’un ? Cruel dilemme qui s’offrait à elle. Elle choisit tout de même la deuxième option, se rendre malade : sans aucune façon. Et puis, elle pourrait se faire passer pour une gentille comme ça.

Le problème était qu’il fallait trouver quelqu’un qui accepterait les pains aux chocolats, croissant et autre pâtisseries. Bref, sa recherche commença, et elle s’en alla arpenter la ville à la recherche de pauvre personne démunie et sans nourriture. Un vrai combat contre la veuve et l’orphelin *SBAF* Après une dizaine de minutes, elle finit par se demander si quelqu’un avait vraiment besoin de manger, ici, elle allait devoir se sacrifier et engloutir les douceurs qui lui restaient. Après ça, elle deviendra énorme et il lui sera impossible pour elle de draguer Kanda *évite les chaussures* Alors qu’elle abandonnait tout espoir de garder une ligne digne de ce nom, un appel de détresse arriva jusqu'à elle, une plainte sortant de l’obscurité et elle se devait d’y répondre. Elle se retourna pour voir d’où venait la plainte, mais ne vit qu’un homme écrouler près d’une fontaine. Il faisait presque pitié comme ça, et il risquait de polluer l’eau de la fontaine ;_ ; Mais elle était d’humeur clémente aujourd’hui, alors elle lui pardonnerait. Peut-être...

Après être resté un moment immobile, fixant le jeune homme les sourcils froncés, elle commençait à se demander si c’était une bonne idée de s’approcher d’un inconnu. Qui sait, il avait peut-être des envies de meurtre, et si elle envoyait d’abord la petite fille qui vendait des fleurs là-bas, au moins, elle serait vite fixé :3 Elle secoua la tête et chassa ses mauvaises pensées, elle devait rester saine et bienveillante aujourd’hui, au moins aujourd'hui ! Après son combat intérieur, elle s’approcha de l’inconnu, son sac de pâtisserie en main. Un sourire sur les lèvres –un sourire forcé bien entendu, mais tout le monde tombait dans le panneau :O- elle tendit son sac à l’inconnu. Heureusement pour elle, elle n’était pas dans un aéroport, sinon, on aurait put la prendre pour une terroriste ! Ben ouais, elle venait de donner quelque chose à quelqu’un qu’elle ne connaissait pas :O Mais à cet époque, y’avait pas encore de plan vigipirate, alors c’était bon Wink

-T’en veux ? Y’en a trop pour moi, alors je vais pas gâché :3

Sans attendre de réponse, elle s’assit sur le bord de la fontaine veillant bien à que rien ne tombe dans l’eau, la norvégienne n’avait pas envie de rentrer avec le popotin trempé >.< Oona déposa le sac de pâtisserie sur la tête du garçon et s’enroula une mèche de cheveux autours de son doigt. Elle posa son regards sur l’édifice en face d’elle avant d’ajouter d'une voix calme et détachée, presque intéressée :

-J’m’appelle Oona et toi ? C’est quoi ton nom ?

Jerom patientait là, contre cette fontaine au milieu d'une quelconque place, se tenant le ventre, les crampes d'estomac arriveraient bientôt. Son estomac commençait à crier à la faim, interpellant les gens, les passants regardait ce pauvre malheureux, une vieille dame arriva même pour lui donner une piécette, après quelques secondes, un couple s'approcha et allait lui parler quand une éruption se fit entendre depuis l'estomac du jeune homme, ce dernier pu voir un geste de recul et un cri presque reconnu de tous mais inconnu de lui : Oh my God. Jerom n'arrivait même plus à sourire, allait-il littéralement mourir de faim ? Il le croyait mais apparemment ce n'était pas son heure ...

Il sentit une odeur, une bonne odeur de pâtisserie, de gâteaux en tout genre, tous plus beurré les uns que les autres, d'où venais cette bonne odeur ? Il releva la tête, et vit une petite fille avec un sac pleins de bonne chose, un ange venu le sauver ? Non les anges n'existaient pas, enfin il était prêt à le croire, enfin si c'était possible. Il ne tarda pas à sentir son sac sur la tête, heureusement que le papier protégeait bien sinon il y aura pleins de gras dans les cheveux du jeune mort de faim. Il ne réagit pas tout de suite, étonné de sentir ce lourd sac sur sa petite tête. Il regarda alors la petite fille qui s'était assise sur le rebord de la fenêtre en faisant attention à ne pas être mouillé . Il la regarda un peu étonné en l'entendant lui dire qu'elle lui donnait pour pas gâcher, cela suffisait à Jerom. Il sourit avant de prendre le sac et s'asseoir à son tour sur le rebord de la fontaine en crispant son visage sous la crampe d'estomac qu'il avait encore à subir. Il sourit néanmoins et sorti une pâtisserie, il la regarda un moment avant de presque la gober, en moins de temps qu'il en fallut pour le dire, il avait déjà engloutit cette bonne petite nourriture.

Il l'entendit dire alors son nom, Oona ? Un peu bizarre comme nom, il n'en n'avait jamais entendu comme celui-là, faut dire que ce ptit gars a pas beaucoup voyager. Il devait répondre ? A mince mais on doit pas parler la bouche pleine, il avala alors entièrement ce qu'il avait dans la bouche en gros le troisième croissant et le début d'un pain au chocolat et lui répondit en souriant :

Mon nom ? Bah Jerom.

Il sourit encore un peu avant de finir ce malheureux pain au chocolat et d'attraper une nouvelle douceur pour son estomac. Il ne lui fallut que très peu de temps avant de finir le sac en entier, plus rien dedans, il avait tout finit en quelques minutes, morfale ! Glouton ! Comment avait-il fait ? *sbaff* Il se frotta le ventre et soupira, que cela était bon d'avoir le ventre plein, il n'aurait pas tenu une heure de plus. Il regarda alors la petite fille qui venait de le nourrir, il ne pouvait pas laisser la situation ainsi, il lui tendit alors la piécette qu'on lui avait donné auparavant et lui dit en souriant :

Ce n'est pas grand chose mais c'est tout ce que j'ai, et vu que t'a l'air de parler la même langue que moi. Merci beaucoup.

Il attendit alors qu'elle prenne la pièce, enfin si elle la prenait, mais maintenant qu'allait-il faire ? Allait-il repartir comme un voleur et errer sans trop savoir où ? Allait-il lui parler pour mieux la connaître et pourquoi pas s'en faire une amie ? Il savait pas trop, il penchait plus pour essayer de discuter et pas passer pour un clochard ou autre, mais s'il restait trop, cela ne se retournerait-il pas contre lui ? Il ne savait pas trop, il soupira, réfléchir n'était décidément pas son fort. Il attendit un moment avant de demander :

Tu es ici pour quoi toi ?

Peut-être que cette question servirait à entamer une bonne discussion, encore fallait-il qu'elle réponde, mais vu qu'elle venait de le nourrir, il était presque sur qu'elle répondrait ...

{ C'est nul je sais :S )

Oona laissa son regard vide examiner les bâtiments en face d’elle. Elle était fatiguée. Oui. Fatiguée. Abandonnant les bâtisses du regard, celui-ci se perdit dans l’immense ciel bleu qui s’offrait à eux. Pas un seul nuage en vu. Juste quelque oiseau qui se laissait porter par le vent, pouvant planer à leur guise dans l’immensité du ciel. Là-bas, aucune frontière, aucune règle. Juste l’obligation d’être libre. La blondinette aurait voulu être doté d’aile. Pouvoir s’envoler, quitter ce monde trop triste. La jeune fille secoua la tête, ce n’était pas une bonne idée de commencer à penser à ça. Elle allait encore avoir les idées noires et envoyer balader tout le monde. Elle soupira et finit par entendre le prénom du garçon. Ah, c’est vrai qu’elle le lui avait demandé. La demoiselle passa une main dans ses cheveux et posa son regard vairon sur Jerom. Il souriait. Encore et toujours. Arg, comme elle détestait ce genre de personne. Et puis, il avait dis son nom comme si celui-ci était évident. « Bah » y’avait pas de « Bah » qui tenait. Non elle ne connaissait pas son nom, était-ce de sa faute ? C’était pas une célébrité locale alors non, elle ne savait pas son nom ! Et puis la chose lui tendit une pièce. Une pièce ? Comme si elle avait besoin de piècette -_- Elle fronça les sourcils et fit une pichenette à la pièce qui roula plus loin. Elle se lava et lui fit face.

-Je n’ai pas besoin de remerciement. Surtout de cette sorte.

Elle allait partir quand il reprit la parole. Il lui demandait pourquoi elle était là ? Qu’est ce que ça pouvait lui faire ? C’était quoi cette curiosité déplacée ? La Norvégienne fronça encore plus les sourcils et lança un regard des plus noirs à Jerom. Et puis elle finit par soupirer. Ça ne servait à rien de s’énerver pour ça. Oh et puis tiens, elle allait lui dire pourquoi. Pas dans les détails bien entendus, mais quand même. Ce sera amusant de voir la tête qui tireras le jeune homme. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Bizarrement, son sourire ne fut ni triste ni empreint de sadisme. Non, juste de mélancolie. Tout ça parce qu’elle pensait à son père et sa mère. Mais aussi à Mahyna, la muette qui fut son amie pendant une courte période avant que celle-ci ne l’abandonne. Pour la deuxième fois, elle secoua la tête. Elle avait la tête remplit de pensé étrange. Elle se frappa le crâne et reporta son attention sur Jerom. Il était toujours par terre. On avait l’impression qu’il souriait niaisement tout le temps. Un deuxième soupire, puis elle se décida à parler.

-Je suis ici parce que j’avais besoin d’argent. Alors je viens en emprunter à ma tante. Qui l’emprunte elle-même à mon père pour chantage. Bref. Un joli brin d’histoire familial. Et non, je n’ai pas le temps de raconter mes problèmes.

Elle avait dit ça en prévention. Sait-on jamais, les gens pouvaient s’avérer très curieux et elle n’avait pas envie d’étaler sa vie, surtout à un inconnu… Elle remit ses cheveux en place ainsi que sa robe et se pencha au-dessus de la fontaine. Oona lança un regard blasé à son reflet, elle était fatiguée. Il fallait qu’elle aille se reposer.

-Bref. J’ai été heureuse de pouvoir t’aider. Mais sache qu’ici, les gens ne viendront pas tous à ton aide, il va falloir que tu apprennes à te débrouiller par toi-même. Tu n’arriveras à rien sinon. Enfin, je ne pense pas que j’ai besoin de te le dire, tu dois déjà savoir tout ça. J’ai été « ravie » de faire ta connaissance…euh…Jerom. Et bien, je pense que ce seras la dernière fois que l’on se voit.

Elle commença à s’éloigner mais finit par s’arrêter pour se tourner vers Jerom.

-Ah et puis, tu ferais mieux de ne pas donner n’importe quoi à n’importe qui.

Elle lui sourit et finit par s’éloigner. Dormir, c’était tout ce qui lui importait pour le moment. Dormir, ne plus sortir. Ne plus voir les gens. Jamais.

[Huhu, je clôture donc le topic qui fut très rapide je le conçois, et signe la fin d'Oona :3]